Salaires, emplois, retraites
Le 27 mai, tous mobilisés !
Nancy 14h00 place Dombasle
Reims 10h00 Maison des syndicats
Chalons-en-Champagne 10h00 Maison des syndicats
Bar-le-Duc 14h30 Place de la gare
Longwy 14h00 Place Darche
Charleville, Troyes & Chaumont à fixer.
Faisant suite au communiqué et à l’appel communs des organisations syndicales nationales CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA, la fédération nationale des personnels des organismes sociaux appelle les salariés de la protection sociale à se mobiliser massivement le 27 mai, au côté de milliers d’autres salariés, de retraités et de privés d’emploi pour faire valoir des mesures nouvelles significatives en matière d’emploi, de salaires, de protection sociale et de retraite.
Pétiton en ligne : cliquez ici.
Télécharger et imprimer la carte pétition : cliquez ici.
En premier lieu, nous tenons à réaffirmer que la retraite à 60 ans, à taux plein, calculée sur les 10 meilleures années, et fixée au minimum à 75% du salaire brut du dernier revenu d’activité reste une idée moderne et traduit la place du travail dans la société et sa reconnaissance.
Au contraire, le rouleau compresseur médiatique du gouvernement tente de présenter l’allongement de la durée de cotisation comme une fatalité. Ainsi l’allongement de la durée de vie serait prétexte à l’allongement de la durée du travail.
Dans ces conditions :
• A quoi serviraient les progrès économiques, qui sont d’abord et avant tout le fruit du monde du travail, et
qui ne sont justifiables que s’ils intègrent une dimension de progrès social ?
• A quoi servirait l’amélioration des conditions de travail autrement que permettre aux salariés de vivre
mieux au travail et d’arriver en meilleure santé à la retraite ?
• A quoi serviraient les progrès de la science et de la médecine si ce n’est que de vivre plus longtemps et en
bonne santé ?
La question cruciale qui est posée à tous aujourd’hui, c’est bien celle du financement de la protection sociale en général et de la retraite en particulier.
La réponse passe inéluctablement par le développement de l’emploi et des salaires.
Sur l’emploi, à qui fera-t-on croire, alors que les premières victimes du chômage sont les jeunes et les plus de 50 ans, que la solution est dans le maintien au travail de ceux qui peuvent prétendre à la retraite ?
Sur les salaires, l’absence de revalorisations salariales, le développement de la précarité et des petits boulots, y compris dans nos organismes et institutions ne constituent-t-ils pas des freins au développement de la croissance et des apports financiers à la protection sociale et à la retraite.
D’autres choix sont possibles et réalisables. Ils résident dans une réorientation des ressources disponibles : moins d’argent pour la spéculation et l’enrichissement, plus d’argent pour l’emploi et les salaires !
La Cgt propose d’introduire deux axes de financements nouveaux :
• Soumettre à cotisations sociales les dividendes, les stocks options, et l’ensemble des rémunérations,
• Moduler le taux de cotisation pour les entreprises, selon rapport richesses créées/masse salariale. Ainsi
plus une entreprise dégagerait de la marge (pour rémunérer les actionnaires) plus son taux de cotisation
serait élevée, et inversement. Ainsi, au travers d’un intérêt à créer des emplois pour voir diminuer son
taux de cotisation, le financement de la protection sociale pourrait constituer le moteur d’une véritable
relance économique.
Aujourd’hui c’est possible !
A l’opposé d’un Chef de l’Etat, d’un gouvernement et du MEDEF qui, au travers du matraquage médiatique, prétendent déjà avoir gagné la partie des retraites, nous pouvons leur opposer tous ensemble un cinglant démenti de la population, de la rue qu’ils méprisent.
Les jeux ne sont pas faits, même si une course contre la montre est engagée !
La Cgt initie une grande campagne de cartes pétitions avec l’objectif de rassembler des centaines de milliers de signatures d’ici début juin, où elles seront remises à l’Elysée.
La fédération Cgt des organismes sociaux propose que devant toutes les portes, les guichets d’accueil de nos organismes et institutions, la signature de ces cartes pétitions soit proposée aux assurés sociaux, adhérents, prestataires, allocataires et pensionnés le 25 mai.
Bien entendu, et en tout premier lieu, ces cartes pétition vous seront proposées à vous salariés de la protection sociale, qui savez à quel point le niveau du service au public s’est considérablement dégradé dans nos organismes et institutions.
Le semblant de concertation en cours organisé par le gouvernement, le calendrier extrêmement serré imposé,
n’offrent pas une qualité de dialogue social acceptable pour répondre à un tel enjeu de société, d’autant que les seuls éléments de la réforme proposée restent le recul de l’âge légal de départ à la retraite et l’allongement de la durée de cotisation dans un cadre budgétaire constant voire dégradé.
Pétiton en ligne : cliquez ici.
Télécharger et imprimer la carte pétition : cliquez ici.
Nancy 14h00 place Dombasle
Reims 10h00 Maison des syndicats
Chalons-en-Champagne 10h00 Maison des syndicats
Bar-le-Duc 14h30 Place de la gare
Longwy 14h00 Place Darche
Charleville, Troyes & Chaumont à fixer.
Faisant suite au communiqué et à l’appel communs des organisations syndicales nationales CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA, la fédération nationale des personnels des organismes sociaux appelle les salariés de la protection sociale à se mobiliser massivement le 27 mai, au côté de milliers d’autres salariés, de retraités et de privés d’emploi pour faire valoir des mesures nouvelles significatives en matière d’emploi, de salaires, de protection sociale et de retraite.
Pétiton en ligne : cliquez ici.
Télécharger et imprimer la carte pétition : cliquez ici.
En premier lieu, nous tenons à réaffirmer que la retraite à 60 ans, à taux plein, calculée sur les 10 meilleures années, et fixée au minimum à 75% du salaire brut du dernier revenu d’activité reste une idée moderne et traduit la place du travail dans la société et sa reconnaissance.
Au contraire, le rouleau compresseur médiatique du gouvernement tente de présenter l’allongement de la durée de cotisation comme une fatalité. Ainsi l’allongement de la durée de vie serait prétexte à l’allongement de la durée du travail.
Dans ces conditions :
• A quoi serviraient les progrès économiques, qui sont d’abord et avant tout le fruit du monde du travail, et
qui ne sont justifiables que s’ils intègrent une dimension de progrès social ?
• A quoi servirait l’amélioration des conditions de travail autrement que permettre aux salariés de vivre
mieux au travail et d’arriver en meilleure santé à la retraite ?
• A quoi serviraient les progrès de la science et de la médecine si ce n’est que de vivre plus longtemps et en
bonne santé ?
La question cruciale qui est posée à tous aujourd’hui, c’est bien celle du financement de la protection sociale en général et de la retraite en particulier.
La réponse passe inéluctablement par le développement de l’emploi et des salaires.
Sur l’emploi, à qui fera-t-on croire, alors que les premières victimes du chômage sont les jeunes et les plus de 50 ans, que la solution est dans le maintien au travail de ceux qui peuvent prétendre à la retraite ?
Sur les salaires, l’absence de revalorisations salariales, le développement de la précarité et des petits boulots, y compris dans nos organismes et institutions ne constituent-t-ils pas des freins au développement de la croissance et des apports financiers à la protection sociale et à la retraite.
D’autres choix sont possibles et réalisables. Ils résident dans une réorientation des ressources disponibles : moins d’argent pour la spéculation et l’enrichissement, plus d’argent pour l’emploi et les salaires !
La Cgt propose d’introduire deux axes de financements nouveaux :
• Soumettre à cotisations sociales les dividendes, les stocks options, et l’ensemble des rémunérations,
• Moduler le taux de cotisation pour les entreprises, selon rapport richesses créées/masse salariale. Ainsi
plus une entreprise dégagerait de la marge (pour rémunérer les actionnaires) plus son taux de cotisation
serait élevée, et inversement. Ainsi, au travers d’un intérêt à créer des emplois pour voir diminuer son
taux de cotisation, le financement de la protection sociale pourrait constituer le moteur d’une véritable
relance économique.
Aujourd’hui c’est possible !
A l’opposé d’un Chef de l’Etat, d’un gouvernement et du MEDEF qui, au travers du matraquage médiatique, prétendent déjà avoir gagné la partie des retraites, nous pouvons leur opposer tous ensemble un cinglant démenti de la population, de la rue qu’ils méprisent.
Les jeux ne sont pas faits, même si une course contre la montre est engagée !
La Cgt initie une grande campagne de cartes pétitions avec l’objectif de rassembler des centaines de milliers de signatures d’ici début juin, où elles seront remises à l’Elysée.
La fédération Cgt des organismes sociaux propose que devant toutes les portes, les guichets d’accueil de nos organismes et institutions, la signature de ces cartes pétitions soit proposée aux assurés sociaux, adhérents, prestataires, allocataires et pensionnés le 25 mai.
Bien entendu, et en tout premier lieu, ces cartes pétition vous seront proposées à vous salariés de la protection sociale, qui savez à quel point le niveau du service au public s’est considérablement dégradé dans nos organismes et institutions.
Le semblant de concertation en cours organisé par le gouvernement, le calendrier extrêmement serré imposé,
n’offrent pas une qualité de dialogue social acceptable pour répondre à un tel enjeu de société, d’autant que les seuls éléments de la réforme proposée restent le recul de l’âge légal de départ à la retraite et l’allongement de la durée de cotisation dans un cadre budgétaire constant voire dégradé.
Pétiton en ligne : cliquez ici.
Télécharger et imprimer la carte pétition : cliquez ici.